merci mad,
Les processus "chimique" sont compliqués, et le soulagement ou le contrôle que tu expliques sont déjà des informations intéressante et vont bien dans le sens qu'un système hormonale est en action.
Il y a des comparaisons possible avec les souffrances du marathonien comme je le citais plus haut, ou avec l'effet du manque qu'exprime les drogués.
Je pense que ce type de témoignage peut aider les psychiatre à comprendre et peut être qu'un jour la science trouvera une molécule pour soulager ce besoin de mutilation.
Bernard |